Dans le cadre de la Semaine arabe 2013, Laure Fourest, enseignante à l'EHESS s'entretient avec Elia Suleiman. Le réalisateur palestinien se confie sur son cinéma et le recours à l'humour mais aussi à la tragédie dans ses scénarios.
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Laure Fourest est doctorante à l'EHESS, spécialiste du cinéma au Moyen-Orient , notamment en Palestine et au Liban.
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Né en 1960 à Nazareth, Elia Suleiman vit à New-York de 1981 à 1993. Période durant laquelle, il est souvent invité comme conférencier dans de nombreuses universités, institutions artistiques et musées. C'est également pendant son séjour aux Etats-Unis qu'il réalise ses deux premiers courts métrages et reçoit de nombreux prix et bourses d'études. Ses essais et articles ont été publiés en anglais, arabe et français.
En 1994, il s'installe à Jérusalem, où la Commission Européenne le charge de créer un département Cinéma et média à l'Université de Bir-Zeit.
Souvent comparé à Tati ou Keaton, il est surtout connu pour son film sorti en 2002, Intervention divine, une comédie tragique moderne sur la vie quotidienne dans les territoires palestiniens qui remporta en 2002 le prix du jury au festival de Cannes.
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