Quand on veut comprendre la crise climatique, on fait rarement appel aux neurosciences. Pourtant, plusieurs experts ont mis en avant le rôle du cerveau comme cause du dérèglement climatique : si on a des modes de vie polluants, ce serait « la faute à notre cerveau ». Mais d’autres ont critiqué cette vision potentiellement déresponsabilisante. Alors, quelle place pour les neurosciences dans la lutte contre le changement climatique ? La clé du problème se trouve-t-elle dans nos neurones, ou s’agit-il d’un mythe fataliste ?
Exposé de Aurore Grandin, doctorante en sciences cognitives au Laboratoire de neurosciences cognitives et computationnelles de l'ENS-PSL, dans le cadre de la Semaine du cerveau 2023 organisée par le département d'études cognitives.
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Cursus :
Aurore Grandin est doctorante en sciences cognitives au Laboratoire de neurosciences cognitives et computationnelles à l'ENS-PSL.
Ses travaux de recherche portent sur l’apport de la psychologie pour la lutte contre le changement climatique.
Cliquer ICI pour fermerDernière mise à jour : 14/04/2023