« Disruption et vulnérabilité des organisations biologiques »
Par Maël Montevil, biologiste et philosophe (CNRS)
Exposé donné dans le cadre du Séminaire Cavaillès (Histoire et Philosophie du vivant) organisé par la République des Savoirs.
Cette question de disruption et de vulnérabilité s'inscrit dans un contexte qui est à la fois un terrain d'application mais aussi un enjeu pour répondre à la crise actuelle du vivant. Le terme "disruption" est de plus en plus utilisé en biologie mais sans être pour l'instant théorisé.
Perpétuant les orientations impulsées par
Jean-Jacques Kupiec lors de sa création, le séminaire Cavaillès se donne
pour objet l’histoire et la philosophie des sciences du vivant. Une
fois par mois un acteur des sciences expérimentales ou humaines est
invité à y présenter ses travaux et réflexions.
Voir aussi
Cursus :
Maël Montévil est chargé de recherche au CNRS, à la République des savoirs, (USR 3608) à l'Ecole normale supérieure.
Il est biologiste théoricien travaillant au carrefour de la biologie expérimentale, des mathématiques et de la philosophie. Ses travaux portent aussi sur des problématiques actuelles telles que les perturbateurs endocriniens et, plus généralement, les disruptions du vivant dans l’Anthropocène et nos réponses à celles-ci. Maël Montévil est l’auteur de plus de vingt-cinq articles dans des revues internationales et d’une monographie avec Giuseppe Longo : Perspectives on Organisms.
Dernière mise à jour : 28/06/2024