Organisé par Delphine Meunier (Lettres Classiques), Béatrice Devevey (LILA) et Anne Duguet (Philosophie), La Voix d’un texte, est la rencontre, une fois par mois, d’un comédien et d’un professeur autour des textes d’un grand auteur de la littérature française : cette lecture commentée se propose de mettre en lumière l’attitude et la voix qui portent le texte.
Gustave Flaubert, lu par Grégoire Baujat et commenté par Jacques Neefs.
Textes lus :
1. Madame Bovary, II, 9, depuis p. 262 : « Ils descendirent. […] », jusqu’à la p. 265 :
« […] On la regardait des fenêtres. »
2. Salammbô, ch. V, « Tanit », depuis p. 144 : « Il reconnut la porte rouge à croix noire. […] »,
jusqu’à la p. 146 : « […] osciller sur les lambris de grande moires lumineuses. »
3. L’Éducation sentimentale, II, 6, depuis p. 369 : « Frédéric allégua une affaire urgente […] »,
jusqu’à la p. 371 : « […] plus qu’une chose, presque un personne. »
4. Bouvard et Pécuchet, ch. V, depuis p. 194 : « Un jour que Bouvard tâchait […] »,
jusqu’à p. 199 : « […] son bac blanc parut. »
5. La Tentation de saint Antoine, ch. VI, depuis p. 250 : « Un air salin le frappe
aux narine. […] », jusqu’à la p. 252 : « […] Antoine fait le signe de croix et se remet en prières. »
6. Trois Contes, La Légende de saint Julien l’Hospitalier, ch. II, depuis p. 86 :
« Un matin d’hiver […] », jusqu’à la p. 89 : « […] il pleura pendant longtemps »
7. L’Éducation sentimentale, III, 1, depuis p. 448 : « Ils étaient là, neuf cents hommes,
entassés dans l’ordure […] », jusqu’à le p. 451: « […] Je suis trop sensible ! »
8. Salammbô, ch. XIII, « Moloch », depuis p. 348 : « Les machines furent dressées
sur la terrasse […] », jusqu’à la p. 350 : « […] des masses d’homme, levant les bras, tombaient
du haut des airs. »
9. Madame Bovary, III, 5, depuis p. 399 : « Puis elle s’en allait ! […] », jusqu’à la p. 401 : « […]
avec la mort dans l’âme. », et III, 11, p. 493 : « Il fut obligé de vendre l’argenterie […] », jusqu’à :
« […] elle devenait triste comme lui. »
10. Bouvard et Pécuchet, ch. III, depuis p. 113 : « Est-il vrai que la surface de notre corps […] »,
jusqu’à la p. 116 : « […] il fit un bond et disparut. »
11. Bouvard et Pécuchet, ch. I, depuis p. 64 : « Bouvard n’avait quitté Paris que le surlendemain […] »,
jusqu’à la p. 66 : « […] sous le clair de lune qui entrait par les fenêtres. »
Madame Bovary, Le Livre de Poche, Classiques, 1999
Salammbô, Le Livre de Poche, Classiques, 2011
L’Éducation sentimentale, GF Flammarion, 2003
La Tentation de saint Antoine, GF Flammarion, 1967
Trois Contes, GF Flammarion, 2009
Bouvard et Pécuchet, GF Flammarion, 1999
Voir aussi
Cursus :
Grégoire Baujat (né en 1984) est comédien et a suivi une formation au Conservateur national d'art dramatique (promo 2005-2008) de Paris.
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Cursus :
Jacques Neefs est professeur émérite à Paris 8, spécialiste de l'histoire et la théorie du roman aux XIXème et XXème siècles, également professeur à la John Hopkins University de Baltimore.
Cliquer ICI pour fermerDernière mise à jour : 27/11/2013